8 exemples d'organisateurs graphiques pour l'écriture narrative

Utilisez ces meilleurs modèles modifiables d’organisateurs graphiques pour l’écriture narrative afin de créer des intrigues détaillées, organiser vos scènes et améliorer le déroulement de votre histoire.

Daniel Belisario
Daniel Belisario Aug 29, 25
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Les meilleures idées restent souvent bloquées sans structure. J’ai vu des auteurs commencer une histoire, puis se retrouver dans une impasse au milieu du brouillon. Les personnages perdent leur cap, l’intrigue dérive et les scènes s’enchaînent sans véritable raison.

Ce qui a changé la donne pour moi, ce n’était pas d’écrire plus, mais d’organiser mieux.organisateurs graphiques pour l’écriture narrative font exactement cela : ils aident à fixer la structure de votre histoire avant de rédiger.

Que vous prépariez une fiction ou un devoir scolaire, ces outils limitent les réécritures et clarifient votre objectif.

Dans cet article, je vais présenter les meilleurs modèles d’organisateurs graphiques pour l’écriture narrative d’EdrawMax, un outil de schématisation intelligent et facile, et vous montrer comment les personnaliser en un clin d’œil.

Table des matières
  1. Qu’est-ce qu’un organisateur graphique pour l’écriture narrative
  2. Pourquoi utiliser des modèles d’organisateurs graphiques pour l’écriture narrative
  3. Exemples d’organisateurs graphiques pour l’écriture narrative
  4. Comment modifier un modèle d’organisateur graphique pour l’écriture narrative
  5. Bonnes pratiques pour créer des organisateurs narratifs efficaces
  6. Conclusion

Qu’est-ce qu’un organisateur graphique pour l’écriture narrative ?

Un organisateur graphique pour l’écriture narrative m’aide à structurer une histoire avant d’écrire. C’est une fiche simple où je pose toutes les parties essentielles du récit.

On y trouve généralement :

  • Personnages – qui intervient dans l’histoire
  • Cadre – où et quand l’histoire se déroule
  • Problème ou conflit – ce qui ne va pas
  • Événements – ce qui se passe et dans quel ordre
  • Résolution – comment tout se termine

Inutile de tout remplir dès le départ ni de respecter l’ordre. Mais une fois terminé, l’histoire devient bien plus facile à gérer.

J’utilise cet outil quand j’ai besoin de sortir mes idées rapidement, ou quand j’essaie d’éviter de modifier sans cesse la scène d’ouverture. Ça fonctionne aussi bien pour construire une intrigue complète que pour esquisser des idées plus libres. Tout reste au même endroit.

Pourquoi utiliser des modèles d’organisateurs graphiques pour l’écriture narrative ?

Créer un schéma narratif à partir de zéro devient vite chaotique. C’est là que les modèles d’organisateurs graphiques pour l’écriture narrative font la différence.

Ils offrent une structure claire. Plus besoin de se demander par quoi commencer : le décor, l’intrigue ou les personnages. Suivez le modèle, concentrez-vous sur vos idées et notez-les.

C’est vraiment pratique si vous manquez de temps ou accompagnez quelqu’un qui débute dans l’écriture.

Au lieu de refaire des schémas ou de noter les événements à la main, vous saisissez simplement vos infos dans un format déjà prêt. Vous pouvez alors vous concentrer sur le ton, le rythme ou les dialogues.

Et si votre histoire commence à partir dans tous les sens, le modèle vous permet de repérer rapidement où ça dérape. Comme un plan, vous choisissez l’arrivée mais vous ne risquez plus de vous perdre sur le trajet.

Meilleurs modèles d’organisateurs graphiques pour l’écriture narrative

Commencer le plan d’une histoire n’a pas à être répétitif. J’ai utilisé ces modèles d’EdrawMax aussi bien pour des projets d’écriture que dans des cours :

Modèle 1

Ce modèle met en lumière tout ce qui manque. Si votre histoire n’a pas un vrai conflit, cela se voit tout de suite. Si la fin ne rejoint pas le début, c’est également évident.

La disposition en rectangles divise le récit en étapes gérables et impose une logique. Je l’utilise spécialement lors des révisions pour vérifier les intrigues secondaires oubliées ou les personnages trop plats.

Il permet de prendre du recul sans perdre les détails. Que ce soit pour enseigner ou pour écrire soi-même, on garde la maîtrise de tout l’arc narratif avant même d’avoir rédigé le premier paragraphe. De quoi éviter pas mal de réécritures douloureuses plus tard !

Modèle 2

Cet organisateur ne se contente pas de séparer les idées : il montre aussi leurs liens.

La partie supérieure vous pousse à réfléchir à votre univers narratif : qui s’y trouve, où cela se passe et quel est le problème central. La partie inférieure aide ensuite à rythmer l’histoire dans un vrai arc narratif.

Pratique quand le récit paraît plat ou décousu. L’utiliser permet de détecter les manques, comme des transitions oubliées ou des fils narratifs non résolus.

Le plus malin : la boîte “Solution” associée au “Problème”, une étape que beaucoup zappent mais qui change la réussite de la fin.

Sortez-le dès que vous voulez que chaque partie s’emboîte sans effort.

Modèle 3

Je choisis ce modèle quand je veux que chaque scène prenne vie. Chaque colonne permet d’indiquer un titre de scène, de résumer et de croquer rapidement avec un dessin. Ensuite, je passe par les invites “Voir”, “Entendre”, “Sentir”, “Toucher” et “Ressentir”.

Ça évite les descriptions banales et pousse à utiliser des détails concrets. Pour rédiger un premier chapitre, je trouve ça précieux : les personnages deviennent vivants parce que j’ai noté comment sent un marché bondé ou la sensation d’un vent froid sur la peau.

Testez-le pour donner une vraie profondeur sensorielle à chaque scène, même avant de commencer à écrire.

Modèle 4

Parfois, parler d’une expérience reste flou ou trop décousu. Ce schéma permet de tout clarifier. Je m’en sers pour raconter un moment précis de la semaine avec le plus de fidélité possible.

On commence par une première phrase qui accroche. La structure suffit ensuite pour guider le souvenir du début à la fin.

Les cases “D’abord, Ensuite, Enfin” sont idéales si vous oubliez des étapes ou perdez le fil du temps. La boîte de conclusion assure que votre récit se termine vraiment, sans juste disparaître.

C’est le moyen le plus simple de transformer les faits réels en récits clairs et percutants.

Modèle 5

Sous forme de maison, cet organisateur graphique aide à planifier vos récits de façon claire et ordonnée. Chaque partie de l’histoire a sa zone dédiée, comme le Problème, la Solution, le Cadre, et les espaces pour Début, Milieu et Fin.

La structure simplifie la logique du récit et aide les élèves à garder les points essentiels en mémoire. Pratique pour écrire ses propres histoires ou pour analyser celles lues en classe.

Parfait pour les plus jeunes, les élèves visuels ou ceux qui fuient l’écriture. Le côté rassurant de la forme apaise et facilite le démarrage.

Modèle 6

Cette carte verticale ressemble à un organigramme, avec des sections pour le cadre, les personnages, l’intrigue, les événements et la résolution.

On avance étape par étape, en notant aussi bien le problème principal que la façon dont tout se conclut.

Cette présentation aide à planifier les histoires de façon très structurée. Elle convient aux plans de nouvelles ou au résumé de chapitres longs.

Que vous appreniez les bases ou construisiez un arc complet, cet outil permet de visualiser ce qu’il manque, d’ordonner vos idées et de garder le cap.

Modèle 7

Ce plan narratif en forme de pastèque aide les plus jeunes à organiser leur pensée.

Au centre, l’événement principal, et autour, le début, le milieu et la fin se répartissent comme des tranches. Chaque graine-encadré sert à ajouter les détails qui enrichissent le tout.

C’est vivant, ludique et facile à suivre. L’écriture devient amusante, et non une corvée.

À la maison comme à l’école, il est idéal pour enseigner l’ordre du récit, l’ajout de bons détails et l’écriture avec une vraie voix personnelle.

Modèle 8

Cet outil de pré-écriture permet aux élèves de structurer leur histoire avant de se lancer. Il utilise des parties colorées pour bien séparer chaque étape.

On commence par le début : qui intervient, où, quand.

Ensuite, trois cases déroulent les événements, orientant vers des détails précis et une logique fluide.

La dernière boîte finalise l’histoire et évite la conclusion trop abrupte.

Il marche aussi bien pour la classe, pour un récit personnel ou pour la création littéraire. Avec ses invitations et ses espaces dédiés, il rassure chacun et permet d’écrire des histoires complètes et captivantes.

Comment modifier un modèle d’organisateur graphique pour l’écriture narrative ?

Avec plus de 210 types de diagrammes pris en charge, EdrawMax est ma référence quand je veux tout organiser visuellement. Pas de code, pas de prise de tête. Je glisse, je déplace, je construis. Je m’en sers pour des cartes heuristiques, des diagrammes, des graphiques, des chronologies, des intrigues, des plans de cours, etc.

Créer un organisateur graphique narratif avec un modèle

Utiliser les modèles dans EdrawMax est rapide et accessible. La structure est déjà là ; il vous suffit de remplir les cases, d’ajuster à votre goût et d’avancer. Voici les étapes :

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Étape 1 : Choisissez votre modèle

Ouvrez EdrawMax sur votre ordinateur et cliquez sur Modèles.

Utilisez la barre de recherche en haut et tapez “Organisateur graphique pour l’écriture narrative” ou “Carte d’histoire”.

Cliquez sur le modèle qui vous convient. Une fois choisi, cliquez sur Utiliser immédiatement pour l’ouvrir dans l’éditeur.

finding a suitable template

Étape 2 : Renseignez les champs texte

Double-cliquez sur une zone comme “Personnages”, “Cadre” ou “Problème” et saisissez vos idées dans chaque case.

Sélectionnez votre texte et utilisez le menu pop-up pour modifier la police, le style, la taille, la couleur, etc.

adding ideas and content

Étape 3 : Modifiez les éléments

Pour supprimer une partie, sélectionnez-la et appuyez sur “Supprimer” sur votre clavier.

Sélectionnez et remplacez une forme avec celles proposées dans le menu pop-up.

Vous pouvez aussi en ajouter une nouvelle depuis la bibliothèque de symboles à gauche.

Utilisez la barre de recherche pour trouver rapidement un élément précis.

inserting and customizing elements

Étape 4 : Personnalisez le design et la mise en page

Cliquez-déplacez chaque élément pour le repositionner. Utilisez les bords pour le redimensionner.

Les guides intelligents aident à tout aligner pour garder un rendu soigné.

Pour mettre en avant une section ou améliorer la lisibilité, sélectionnez la forme et :

Changez la couleur via Remplissage dans le menu du haut.

Ajustez la police ou la taille du texte avec la barre d’outils.

customizing shape colors

Allez dans l’onglet Design pour modifier le style général.

Testez le bouton Beautifier en un clic pour changer le thème rapidement ou utilisez les styles intégrés.

modifying theme colors

Étape 5 : Sauvegardez ou exportez votre organisateur

Cliquez sur Fichier > Enregistrer sous pour enregistrer votre projet au format EdrawMax et pouvoir le modifier plus tard. Vous pouvez aussi enregistrer sur le cloud pour un accès depuis différents appareils.

Cliquez sur Fichier > Exporter(vers Image/PDF/Autres formats), puis sélectionnez PNG, Word, PowerPoint ou SVG.

C’est très pratique si vous devez imprimer, rendre un devoir ou partager votre schéma avec quelqu’un qui n’a pas EdrawMax.

exporting the final graphic organizer

Pourquoi choisir EdrawMax ?

La plupart des outils imposent leur format. EdrawMax s’adapte à vos idées. J’ai testé Canva et Lucidchart : trop de limites, trop lent. Ici, tout est souple et intuitif.

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  • Mise en page par glisser-déposer – Ajoutez de nouvelles zones sans casser la structure.
  • Des milliers de modèles prêts à l’emploi – Arcs narratifs variés, cartes de scène, fiches de personnage…
  • Outils d’alignement automatique – Les connecteurs se déplacent tout seuls quand vous bougez les éléments.
  • Icônes personnalisées – Pour personnaliser ou embellir vos schémas.
  • Exports flexibles – Imprimez, partagez en numérique ou travaillez en mode collaboratif.
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Bonnes pratiques pour créer des organisateurs narratifs efficaces

Bien conçu, un organisateur narratif devient un vrai guide, pas juste un outil.

Commencez par définir la structure globale. Décidez combien de parties aura votre histoire. Moins de cases pour un texte court ; plus de cases pour découper les actes ou scènes d’une histoire longue.

Gardez le même modèle tout du long. Choisissez une forme pour chaque élément et conservez-la sur l’ensemble. C’est le secret pour ne pas s’embrouiller.

Travaillez à rebours. Fixez la fin de votre histoire en premier. Cela orientera tous les choix dès le début et évite d’ajouter des scènes inutiles.

Restez précis dans chaque case. Un seul type d’info par boîte. Par exemple, le cadre doit parler du lieu et du temps, rien de plus.

Écrivez sous forme de listes. Préférez des points courts et clairs. Comme :

  • Se perd
  • L’orage éclate
  • Trouve refuge

Prévoyez des espaces pour les idées. Laissez des zones vides pour noter des pensées ou rappels. Vous verrez, elles servent plus qu’on ne croit !

Utilisez la couleur intelligemment. Associez une couleur par fil narratif. Restez sobre, nommez-les clairement.

Faites des synthèses rapides. Transformez chaque section en un petit paragraphe. Si ce n’est pas clair, revoyez vos notes.

Conclusion

Une bonne histoire a un début, un milieu et une fin, mais on oublie souvent ce détail en cours de route. Un organisateur graphique structuré vous évite de vous perdre.

Avec EdrawMax, vous mettez de l’ordre dans votre créativité. Que vous vouliez un organisateur graphique en carte d’histoire, un modèle vierge ou un exemple complet d’organisateur graphique pour l’écriture narrative, vous trouverez forcément celui qui correspond à votre façon de penser et d’écrire.

Moins de confusion, plus d’écrits efficaces.

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